Accès à une carrière souterraine par un effondrement .
Le ciel de la carrière est tombé, son accès n'est pas facile mais avec des cordes c'est bon. Pour accéder à l'autre carrière il faut se baisser car le passage ne fait pas plus de 70cm, tout est instable . Le ciel de la carrière se détache, faut pas trop regarder. Les champignons sont là, les inscriptions sur le ciel de la carrière nous rappelle les anciens que nous avons connu. Je me souviens de ceux qui passaient à vélo devant chez Mr et Mme Bruiet chez qui j'étais apprenti électricien, c'était les années 60. La mère de Mr Bruiet avait un café , Mr Salandre y venait tous les jours.Je me souviens d'un carrier qui travallait chez Daudin, sur son vélo il avait installé un siége pour son chien c'était un des frères Mercier. Des hommes avec des bras énormes à force de charger les camions à la main, deux par terre et deux dans la benne. Klébert Renault qui livrait avec son camion les clients, sans oublier le pére Violet avec son Renault Fainéant le moteur 6 cyl à plat . Je pense également à d'autres , Pierrot Vachar avec le premier Berliet neuf multi Bennes / JP Sannier aves son camion remorque Unic V 8. C'était une autre époque mais il ne faut pas oublier. Le travail n'était pas facile, mais c'était des durs qui ne se plaignaient jamais. Je me souviens bien du petit chargeur jaune Volvo piloté par Colbert Foucry, ce petit chargeur allait d'une carrière à l'autre, une à côté du cimetière et l'autre dans le centre du village, de nombreux HLM sont la dans l'ancienne carrière Daubin. Sur les photos vous retrouverez Baulard / Leroux / Duchesne et bien d'autres. Faut dire qu'à St Maximin il y avait tellement de carrières de pierre / Fèvre / Ouachée Corpechot/ Civet Pommier-ROCAMAT/ Daubin/ ANADONE- PMT / et d'autres petits artisants / Piochelle ........